Pour certains, une visite chez le coiffeur peut être extrêmement angoissante : confier une chose aussi personnelle que sa chevelure à autrui, c’est plonger tête première dans l’inconnu. Et c’est pourquoi, quand on trouve le bon, on lui reste fidèle longtemps. Mais la médaille a aussi un revers : si la visite se déroule mal, le client risque non seulement de ne jamais remettre les pieds dans le salon, mais aussi de lui faire mauvaise presse. Malheureusement, les accidents font partie de la vie – il est donc essentiel pour les propriétaires de petite entreprise de tous secteurs d’assurer leurs arrières.

13 pensées qui ont traversé l’esprit de Jack le coiffeur pendant la visite

« Carole est trop ennuyante! Impossible d’entretenir la conversation avec elle! »” Le lourd silence entre un client et son coiffeur n’est pas qu’embarrassant pour le client : le malaise est aussi bien réel de l’autre côté de la chaise. Alors, rendez-vous tous les deux service en alimentant le dialogue.

« Allez, c’est l’heure du séchoir pour Carole – et du café pour moi. »

« Bon sang, il n’y a pas pire odeur que celle des cheveux brûlés. Il y a un client qui ne sera vraiment pas content! …Oh merde, c’est ma cliente! » S’il est tout naturel de sentir monter la panique dans une telle situation imprévue, il faut garder votre calme : votre air affolé risquerait de déteindre sur l’humeur du client. 

« Si je continue tout bonnement d’enrouler ses bigoudis, elle ne le remarquera peut-être pas tout de suite… » La panique peut parfois nous embrumer les idées, mais fie-toi sur nous, Jack : elle l’a remarqué, c’est certain. Meilleure chance la prochaine fois.

« Une chance que j’suis assuré. » N’attendez pas qu’un incident survienne pour constater l’importance d’une protection solide. Saviez-vous que selon la Federal Emergency Management Agency (FEMA), 40 % des entreprises ne rouvrent jamais leurs portes après une crise? Ou que 30 % des propriétaires de petite entreprise ont eu un démêlé juridique entre 2012 et 2015? L’assurance est justement faite pour protéger vos arrières dans ces situations-là. Mais la réalisation d’un sinistre n’est pas le seul moment où elle vous sera utile : on demande aux propriétaires de petite entreprise de présenter une preuve d’assurance dans bien d’autres contextes, notamment la tenue d’événements et la location de locaux commerciaux ou d’équipement. Ne vous laissez pas prendre les culottes baissées!

« Je vais devoir rayer “capable de jongler avec plusieurs tâches à la fois” de mon CV… » On ne te le fait pas dire.

« Mais est-ce que je suis vraiment couvert pour ça? » Si Jack a eu le flair de choisir TruShield Assurance, c’est probablement le cas! Nos assurances responsabilité civile des entreprises couvrent les réclamations pour dommages corporels subis par un tiers. Pour les salons, les barbiers et les coiffeurs, nous ajoutons même une protection spéciale à nos polices : l’avenant Responsabilité professionnelle des coiffeurs et salons de beauté. C’est exactement ce dont vous avez besoin dans un cas comme celui-ci.

« Je devrais regarder ma police de plus près, et possiblement la mettre à jour… » Selon notre spécialiste de l’assurance Mike Gaba, bon nombre de propriétaires de petite entreprise ne font pas la révision ou la mise à jour de leur assurance aussi souvent qu’ils le devraient. Si vous avez la même protection qu’aux premiers jours de votre entreprise, vous prêtez peut-être le flanc à des risques que vous ne soupçonnez même pas. Il y a des situations précises qui demandent un changement de police, mais dès que vous avez un doute, consultez votre courtier ou votre agent en assurance de dommages.

« Bah, c’est pas la fin du monde – ses mèches laissaient à désirer de toute façon. Maintenant, on peut repartir à neuf! » Tâcher de voir le bon côté des choses est un bon mécanisme de défense, qui peut détendre l’atmosphère pour tout le monde – en particulier Carole, qui s’arrache probablement les cheveux à l’heure actuelle.

« Je devrais peut-être faire réparer mon séchoir… Est-ce que j’ai acheté la garantie supplémentaire contre les bris d’équipement, de robots ou je ne sais trop quoi? » L’assurance contre le bris d’équipement ne couvre pas exactement les robots rebelles… mais pourrait vous servir dans le cas où un appareil électrique cesserait de fonctionner sans crier gare (ou en criant ciseau). Cette garantie supplémentaire s’ajoute à l’assurance des biens de votre entreprise; elle s’étend aux accidents qui surviennent pendant que l’objet est en utilisation ou qu’il est branché et prêt à servir.

« Avec un peu de chance, la garantie du fabricant s’appliquera encore, et je n’aurai pas à passer par mon assureur. » Il vaut mieux ne pas vous fier à la garantie du fabricant quand votre équipement rend l’âme, car son application peut être très sélective. Bien souvent, ce type de garantie n’est pas valide en cas d’erreur de manipulation : si on juge que le dommage a été causé par l’utilisateur, la réparation ou le remplacement de l’objet n’est alors pas couvert par la garantie – mais pourrait l’être par votre assurance contre le bris d’équipement. Par exemple, disons que vous avez branché trop d’appareils électriques sur le même circuit et qu’une surcharge les a endommagés… Eh bien, la garantie du fabricant ne vous est d’aucun secours.

« À bien y penser, je ferais sûrement mieux d’appeler mon assureur quand Carole sera partie. » Si vous vivez un tel traumatisme (quoique celui-ci était sans doute bien pire pour Carole que pour son coiffeur), téléphonez à votre assureur dès que possible. Pensez aussi à passer l’événement au peigne fin pour en consigner tous les détails, et demandez aux témoins de la scène de faire de même. Si vous êtes client de TruShield Assurance, vous avez aussi gratuitement accès à notre Assistance en cas de traumatisme. Ce service à valeur ajoutée est conçu pour aider les propriétaires et leurs employés à se remettre du choc émotionnel causé par l’incident.

« J’aurais dû écouter ma mère et devenir goûteur de nourriture pour animaux. » On est des spécialistes de l’assurance, pas des orienteurs – tu vas devoir te débrouiller tout seul avec cette question-là, Jack.